A l'invitation de Gérard Gahnassia, j'ai eu la chance et l'honneur d'être membre du jury de ce concours international deux dimanches de suite.
L'occasion de rencontrer des gens fort sympathiques, de manger quelques sushis non moins sympathiques, et surtout d'écouter de jeunes pianistes au talent indéniable.
Voici donc une improvisation en forme de pot-pourri de ce que j'ai pu y entendre, une sorte de "réminiscence des clés d'or" ! Vous y trouverez en vrac des souvenirs de la superbe composition originale d'un jeune tchèque ("On rêve !" murmurait-on dans le jury en l'écoutant), des restes de valses de Chopin, des vestiges de rondos classiques, des traces de ragtime, sans oublier dans la catégorie "adultes amateurs", le cauchemar d'un final de Clair de lune de Beethoven et d'une étude révolutionnaire de Chopin joyeusement massacrés !
Mes amitiés à tous ceux qui étaient présents et qui passeraient par ici !
Commentaires récents
Pour équilibrer les claques, j'en donne une sur la joue gauche.
Il y a un peu plus d'une semaine j'étais en Charente Maritime pour couvrir les dégâts de Xynthia. Ségolène Royal organise à la dernière minute une conférence de presse à Port-des-Barques, soit à une heure de La Rochelle. Je speede comme un malade pour y être à l'heure... Et là le maire de la commune me dit qu'elle ne sera pas là avant 2 heures, et d'être discret car dans la commune "on aime pas trop les journalistes" (TF1 était passé par là lors d'une précédente tempête ! )
Alors moi je dis bravo Mme Royal !
Pour rester dans la nouvelle grammaire modifiée des politiques, on dira qu'elle a été victime de retarditude !
(ou alors elle venait en barque, pour montrer qu'elle pouvait affronter la tempestitude ?)
Z'avez vu les rumeurs qui courent sur internet ? Paraît qu'un certain Benjamin Violet, depuis peu détenteur d'une Bictoire de la musique, aurait mis quelques cornes de plus sur la tête de Sarko, lequel se consolerait dans les bras musclés d'une certaine Kantal Jouanneau, récente championne de France de Charaté !
Je ne pensais pas si bien dire avec la petite phrase "on verra ça en 2012, si tu seras encore avec moi" ! arf arf arf
Bien vu l'impro !